The never ending way of ORwarriOR | CD par Orphaned Land

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Description de l'article

Diverse, oriental Dark Metal with a proper dose of mysticism. On their fourth and latest studio offering, the band offer us some excellent tracks.

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Général

Article n°. 164005
Genre (musique) Progressive Metal
Exclusivité EMP Non
Média - Format CD
Thématiques Groupes
Artiste Orphaned Land
Catégorie de produit CD
Date de sortie 22/01/2010

CD 1

  • 1.
    Sapari
  • 2.
    From broken vessels
  • 3.
    Bereft in the abyss
  • 4.
    The Path Part 1 - Treading Through Darkness
  • 5.
    The Path Part 2 - The Pilgrimage To Or Shalem
  • 6.
    Olat Ha'tamid
  • 7.
    The warrior
  • 8.
    His leaf shall not wither
  • 9.
    Disciples of the sacred Oath 2
  • 10.
    New Jerusalem
  • 11.
    Vayehi Or
  • 12.
    MI ?
  • 13.
    Barakah
  • 14.
    Codeword: Uprising
  • 15.
    In thy never ending way

par Nicolas Didier Barriac (09.01.2010) Une chronique signée HARD ROCK magazine ! The Never Ending Way Of ORWarriOR est de ces albums qui filent le vertige par leur profondeur extrême. Evidemment avec Mabool comme référence on ne peut dire qu’on soit surpris… Et pourtant ! Orphaned Land se réinvente dans son cadre spécifique, celui du metal moyen-oriental. Plus de guitares, plus d’orchestrations, plus de mouvements… Bref, en un mot : plus de production. Si Mabool avait un petit côté amateur dans sa fabrication, son successeur est peaufiné jusque dans le moindre de ses nombreux détails. C’est d’ailleurs dans cette perfection si évidente que le groupe se fourvoie quelque peu et oublie les étincelles qui devraient enflammer une œuvre aussi complexe que celle-ci. Du coup, quelques pistes en début d’album souffrent de cela mais sont vite balayées par un crescendo émotionnel infernal qui commence à partir de "The Warrior" et qui ne lâchera rien jusqu’au final explosif de "Codeword : Uprising" et la ballade de fin "In Thy Never Ending Way". Les parties folk, de toute beauté, s’intègrent bien plus logiquement à l’ensemble que sur Mabool. Seul véritable regret : les influences death qu’on aurait pu espérer plus tranchantes et plus nombreuses. Heureusement, leurs interventions, savamment dosées, ne déçoivent jamais, exactement comme les disques d’Orphaned Land, toujours rares mais sublimes. (8,5/10)

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