Épuisé !

Mechanize | CD par Fear Factory

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Description de l'article

Le groupe américain culte est de retour avec leur très bon mélange Metal et indus.

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Général

Article n°. 159882
Genre (musique) Industrial
Exclusivité EMP Non
Média - Format CD
Edition Edition limitée
Thématiques Groupes
Artiste Fear Factory
Catégorie de produit CD
Date de sortie 05/02/2010

CD 1

  • 1.
    Mechanize
  • 2.
    Industrial discipline
  • 3.
    Fear campaign
  • 4.
    Powershifter
  • 5.
    Christploitation
  • 6.
    Oxidizer
  • 7.
    Controlled demolition
  • 8.
    Designing the enemy
  • 9.
    Metallic division
  • 10.
    Final exit
  • 11.
    Crash test
  • 12.
    Keine Titelinformation (Data Track)

par Sven (09.01.2010) Une chronique signée HARD ROCK magazine ! Il était temps que les choses se clarifient un peu concernant le statut de Fear Factory, car depuis cet été cela devenait de plus en plus compliqué à suivre. Entre les procédures légales engagées par les uns et les autres pour obtenir le droit d’exploiter la marque commerciale FF, les communiqués officiels d’un camp ou de l’autre, les petites phrases balancées au gré de diverses interviews… Fear Factory finissait par ressembler ni plus ni moins qu’à un grand cirque médiatique bien loin de la musique. Heureusement, avec cette nouvelle sortie, nous voici un peu plus fixés. Christian Olde Wolbers et Raymond Herrera ne jouent plus que dans Arkaea avec le chanteur de Threat Signal, tandis que Dino Cazares et Burton C Bell sont redevenus les meilleurs amis du monde, ont débauché Byron qui a suivi le mouvement et recruté Gene Hoglan pour tenir les baguettes. Et pour quel résultat vous demandez-vous sûrement ? Le meilleur qui soit depuis bien longtemps ! Après la bouse infâme que fut Digimortal, le petit retour aux sources sympatoche mais éphémère d’Archetype et le vide absolu de Transgression, enfin Fear Factory est de retour à la place qu’il n’aurait jamais dû quitter depuis Obsolete. C’est même presque jusqu’à l’époque de Demanufacture que le quartette nouvellement formé propose de nous emmener. Sons de machine, nappes de synthé glaciales, samples de films, tout cela géré par le grand Rhys Fulber encore une fois qui a également co-produit l’album ; interaction toujours aussi jouissive entre la double du batteur et les riffs de Dino ; même le chant clair de Burton – dont il n’abuse pas trop, tant mieux pour les futures interprétations live – fait plaisir à entendre. On sent bien que le combo avait une certaine rage à exprimer et il le fait de fort belle façon. Nous ne commenterons pas la basse de Byron, car elle passe totalement inaperçue derrière le reste des éléments bien plus forts aussi bien au niveau du volume dans le mixage que de l’impact et de l’intérêt. L’autre grande question concernait la batterie : Gene serait-il en mesure de remplacer Raymond sans dénaturer le son de FF ? Eh bien le pari est gagné, et même si forcément l’ensemble de ses fûts est triggé à l’excès – à se demander si à ce niveau-là le siège du batteur ne l’est pas également tant qu’à faire –, Gene insuffle de la nouveauté et une certaine fluidité dans son jeu que Raymond n’avait pas. Beaucoup moins rigide que ce dernier, Gene ne va pas jusqu’à faire groover ses parties de batterie, mais il leur apporte un peu plus de « vie ». Un retour en grande forme donc et on espère que le groupe parviendra à maintenir cette forme encore pendant longtemps. (8,5/10)

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